Le professeur Niculescu de l’université de médecine d’Indiana et son équipe ont pu identifier des biomarqueurs d’expression génique prédictifs des états de stress élevés. Grâce à un test sanguin, le diagnostic des patients atteints du syndrome de stress posttraumatique (SSPT) et l’identification de personnes à risque seront facilités. Ce test pourrait également évaluer la réponse au traitement de manière quantifiable. Les biomarqueurs identifiés seraient meilleurs que la longueur des télomères, connue pour prédire un stress psychologique. Cette étude a permis d’indiquer de potentiels médicaments candidats.
- Publié dans Nature : Molecular Psychiatry le 12 mars 2019
- DOI: 10.1038/s41380-019-0370-z