Suite à la mise en évidence du risque d’ulcération rapporté en 2012 avec les spécialités à base nicorandil (Adancor, Ikorel et génériques), le rapport bénéfice/risque des médicaments contenant ce principe actif a été réévalué. Le nicorandil conserve son AMM dans le traitement de l’angor stable, mais uniquement en seconde intention, en cas d’échec, de contre-indication ou d’intolérance aux bêtabloquants et/ou antagonistes calciques. Le médicament devra être arrêté en cas de survenue d’une ulcération, quelle que soit la localisation.
Par ailleurs, de nouvelles interactions et contre-indications ont été ajoutées aux AMM des spécialités de nicorandil. Enfin, la posologie recommandée a également été modifiée et passe de 10 à 20 mg deux fois par jour, avec une instauration à 5 mg chez les personnes sujettes aux céphalées.
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