Signalements sur le portail Pharos, saisies du Procureur de la République en vue de poursuites, mesures de police sanitaire visant à interdire la publicité et la vente en ligne… L’ANSM a annoncé avoir engagé plusieurs actions contre la vente illégale de produits présentés comme des aGLP-1 – et qui sont le plus souvent des contrefaçons – sur internet et les réseaux sociaux.
« Parallèlement, nous avons commencé à analyser, dans nos laboratoires, certains produits présentés comme des aGLP-1 vendus sous forme de patchs provenant des sites frauduleux, afin d’en vérifier la composition et leur éventuelle toxicité », informe aussi l’Agence dans un communiqué mi-septembre.
Elle assure « maintenir une surveillance renforcée des risques associés à ces médicaments et des usages non conformes ».
