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Portrait de groupement : Pharmavie

« Nous mettons tout en place pour accompagner le pharmacien pour être le bon relais santé de proximité. »

« Nous accompagnons le pharmacien dans la mise en valeur de son rôle d’acteur de santé. »

 
  • 450 adhérents sur le territoire national
  • 3 millions d’euros de CA moyen
  • 700 références de produits à la marque
   

Revue Pharma : Quelles sont les valeurs portées par votre groupement ?

Christina Tzikas : Tout d’abord l’indépendance du pharmacien, qui est une valeur très importante pour nous, et la défense de la croix verte. Nous valorisons également la double casquette entrepreneur/professionnel de santé, en offrant au pharmacien tous les outils et services pour sa performance économique et sa performance liée aux services santé.

 

Quels services ou outils différenciants proposez-vous aux pharmaciens ?

Notre premier axe de différenciation, ce sont nos produits MDD, qui regroupent 700 références, avec notamment une expertise en micro­nutrition. Un plébiscite des patients qui place Pharmavie comme 1ere  marque de micronutrition MDD. Nous avons également une forte appétence au développement du concept enseigne évolutif et modulable, avec une animation point de vente dynamique, axée sur la naturalité et le bien-être. Nous proposons aussi un corner oncologie, avec des services dédiés d’accompagnement. De plus, depuis quelques mois, grâce à la puissance du groupe Phoenix OCP, nous développons des outils de gestion du back-office qui allient l’intelligence artificielle (IA) à la supply chain afin de libérer le pharmacien de certaines tâches chronophages comme la gestion des ruptures.

 

Alors que le métier de pharmacien évolue, quelle vision portez-vous pour l’avenir du métier ?

Le métier est en train de passer d’une orientation « produit » à une orientation plus « médico-sociale ». Le gouvernement pousse en ce sens, et c’est une bonne nouvelle pour la profession, puisque cela va préserver le maillage. Néanmoins, cela demande des moyens. Aussi, nous mettons tout en place pour accompagner le pharmacien dans cette transition afin qu’il ait tous les outils pour être le bon relais santé de proximité, qu’il garde son indépendance et qu’il puisse capitaliser sur son point de vente et résister aux baisses de marge.

 

Sur quels nouveaux projets planchez-vous dans l’année à venir ?

Comme je le mentionnais précédemment, notre priorité est notre projet logistique d’optimisation du back-office avec la digitalisation de l’activité au maximum, l’implémentation de l’IA dans la supply chain et l’automatisation des tâches chronophages. Nous travaillons aussi à la création d’outils clés en main pour former l’équipe sur les nouvelles missions de santé. Cela, en offrant de la clarté avec des formations modules très pratico-­pratiques qui mettent en perspective les bénéfices pour le point de vente et pour le patient.

 

En quelques mots, pourquoi un jeune installé devrait-il vous rejoindre ?

En tant que pharmacien, si je me mets à la place d’un jeune diplômé, je voudrais qu’on m’accompagne de A à Z, avec des projets de financement qui m’aident à acheter l’officine souhaitée, avec de la formation sur la 1re année pour m’aider en tant que titulaire et tous les outils conçus pour me libérer de certaines tâches et me permettre ainsi d’être avec mon équipe et mes patients.  •