La situation en deux mots : Si aujourd’hui plus de 85 % des futurs parents souhaitent connaître le sexe du bébé, il reste une part d’irréductibles joueurs. Alimentation, couleurs des tétons, calendrier chinois ou maya... Tout ce qui peut potentiellement influer sur le sexe passionne. Des envies de viande pendant la grossesse ? C’est un garçon. Le fond des yeux légèrement jaune ? C’est une fille ! Évidemment, ces affirmations reposent sur des bases scientifiques faibles, voire inexistantes. En 2017, une étude sinocanadienne avance l’influence de la pression artérielle de la mère sur le sexe du futur bébé. Décryptage.
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