Suite au signalement d’un cas de pharmacovigilance, l’ANSM a rappelé que les différents patchs nicotiniques ne pouvaient se substituer l’un à l’autre. Effectivement, mis à part pour Nicotinell et son générique Nicopatch, aucune étude comparative de biodisponibilité n’a été effectuée pour attester de la bioéquivalence des différentes marques. La substitution risque donc d’entraîner des symptômes de manque ou de surdosage.
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