Les pharmaciens sont appelés à voter le 7 décembre afin de choisir leurs représentants au sein des URPS. La profession se mobilisera-t-elle ? Quelles sont les grandes tendances ? Premiers éléments de réponse.
Témoignages
« Ces structures ont un coût de fonctionnement trop élevé. »
« Les URPS souffrent d’un gros défaut de communication. On a comme l’impression d’une nouvelle structure professionnelle inutile et coûteuse. »
« Sur le papier, les URPS sont une bonne chose mais le problème vient de leur interlocuteur direct : les ARS et donc in fine l’État, qui n’a pas les moyens de concrétiser les projets proposés. »
« Enfin une structure d’utilité publique proche des pharmaciens et des patients. Pas comme les syndicats et l’Ordre déconnectés des réalités officinales. »
Quelques chiffres
- 11% des pharmaciens seront candidats aux prochaines élections URPS.
- 58 % des pharmaciens déclarent connaître les missions des URPS.
- 71 % des pharmaciens estiment que les URPS ne sont pas suffisamment forces de propositions.