L’ANEPF, le CVAO et l’AFLAR s’associent pour lancer les premiers États généraux du premier recours chez le pharmacien. « Depuis l’annonce des premiers États généraux du 1er recours par les présidents du CVAO et de l’ANEPF, les groupes de travail, regroupant étudiants et pharmaciens s’organisent déjà dans les territoires pour classifier et caractériser toutes les situations et demandes de premier recours à la pharmacie au bénéfice des malades et des usagers » indiquent-ils dans un communiqué. 4 millions de personnes passent tous les jours la porte d’une officine. L’objectif de ces états généraux est de définir « rigoureusement l’amplitude des réponses que peuvent apporter la proximité du maillage des pharmacies et l’expertise du pharmacien et de son équipe ». Un travail de réflexion basé sur l’interpro et associant les internes de médecine générale. Le rendez-vous est fixé dès juin prochain, pour présenter leurs visions et faire émerger une cartographie d’ensemble des demandes de premier recours chez le pharmacien. « Il est temps de favoriser l’expression auprès du grand public et des décideurs de la pluralité des actions et solutions apportées par la pharmacie de ville » précisent les associations. Les patients sont également engagés dans ces états généraux, à l’instar de l’AFLAR, pour associer la voie des patients à l’amélioration de la pratique du conseil du premier recours à la pharmacie.
L’ANEPF, le CVAO et l’AFLAR s’associent pour lancer les premiers États généraux du premier recours chez le pharmacien.
« Depuis l’annonce des premiers États généraux du 1er recours par les présidents du CVAO et de l’ANEPF, les groupes de travail, regroupant étudiants et pharmaciens s’organisent déjà dans les territoires pour classifier et caractériser toutes les situations et demandes de premier recours à la pharmacie au bénéfice des malades et des usagers » indiquent-ils dans un communiqué.
4 millions de personnes passent tous les jours la porte d’une officine. L’objectif de ces états généraux est de définir « rigoureusement l’amplitude des réponses que peuvent apporter la proximité du maillage des pharmacies et l’expertise du pharmacien et de son équipe ». Un travail de réflexion basé sur l’interpro et associant les internes de médecine générale.
Le rendez-vous est fixé dès juin prochain, pour présenter leurs visions et faire émerger une cartographie d’ensemble des demandes de premier recours chez le pharmacien. « Il est temps de favoriser l’expression auprès du grand public et des décideurs de la pluralité des actions et solutions apportées par la pharmacie de ville » précisent les associations.
Les patients sont également engagés dans ces états généraux, à l’instar de l’AFLAR, pour associer la voie des patients à l’amélioration de la pratique du conseil du premier recours à la pharmacie.