Traitement de référence de l’acidité gastrique depuis les années 90, les inhibiteurs de la pompe à protons, communément appelés IPP, sont prescrits ou conseillés en OTC à des millions de personnes à travers le monde.
Les résultats d’une étude portant sur près de 260 000 patients, suivis pendant 6 à 14 ans, ont été publiés dans JAMA Internal Medicine en février 2016. Celle-ci cherchait à déterminer la tolérance au long cours des IPP et a démontré que la prise d’IPP était associée à une augmentation de 20 à 50 % du risque de développer une insuffisance rénale chronique. Les auteurs suggèrent que cet effet est à rapprocher du risque de néphrite interstitielle, connu pour cette classe thérapeutique. Attention donc à bien en rappeler les règles de bon usage.
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